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L'HÉRITAGE INVISIBLE

Se libérer des maux de nos ancêtres avec la psychogénéalogie

Disponible en librairie depuis le 20 janvier 2021 - 16.95 € - 192 pages

Extrait :
La psychogénéalogie ne se théorise pas, elle se vit, elle s’explore. Elle propose un processus dynamique et développe des milliers d’histoires singulières, car chaque être est unique. Ce sont sur ces parcours, ces voyages où le particulier rencontre l’universel que s’appuie ce livre, autour de cicatrices symboliques de l’âme humaine, de leurs histoires nouées et de leurs liens transgénérationnels. Ces voyages ont pour but ultime la sérénité, la paix, l’acceptation, la légèreté, car les traumatismes et les problèmes ont été écoutés et entendus avec empathie, déposés sur la feuille du chevalet et travaillés. Grâce à la psychogénéalogie, le corps est en paix. Les moments difficiles ont été digérés, le travail de deuil est terminé, et on peut passer à autre chose. En plus des traumatismes de nos ancêtres, il faut avoir également tenu compte de nos propres traumatismes, car ils sont inscrits dans notre corps. […]

Quand on décide de faire un travail sur soi et sur toutes les générations qui nous ont précédés, quelque chose se passe. […]

C’est comme si des portes s’ouvraient sur l’imprévu, sur des événements qui n’ont pas de causalité, mais sont liés par le sens. Si on n’est pas libre de notre passé, on est emprisonné par celuici. Le travail en psychogénéalogie permet de ne plus se sentir piégé dans un rôle. […]

En rendant à nos ancêtres ce qui leur appartient, on peut enfin voir les choses autrement, éclairer nos choix de vie d’une lumière nouvelle, construire notre identité avec un peu plus de liberté, guérir des blessures du passé et trouver un fil conducteur à notre histoire. C’est en rendant visibles les loyautés invisibles, les secrets de famille et les deuils non faits qui nous entravent qu’on devient plus libre de vivre sa vie à soi. La psychogénéalogie est un chemin qui mène à la lumière qui est en chacun de nous.

A voir aussi :


Brigitte Lahaie Sud Radio - 29 janvier 2021

Interview d'Evelyne Bissone Jeufroy par Brigitte Lahaie sur sud Radio pour la sortie de "l'Héritage Invisible"


QUATRE PLAISIR PAR JOUR,
AU MINIMUM !

Les bienfaits du plaisir sur le corps et l'esprit

Quatre plaisirs par jour au minimum !
Couverture : © Anne Smith

Quatrième de couverture :
 S’accorder, chaque jour, au moins quatre petits plaisirs, cela paraît si facile que l’intention fait sourire. Et pourtant… Un grand nombre de personnes n’arrivent même pas à en dresser la liste quand on le leur demande ! Or le plaisir nous recharge en énergie. Il dynamise. Il chasse la fatigue. Il calme. Il permet de guérir. Il redonne de la joie. Il reconnecte au corps, aux autres et au monde. Et il est une voie d’accès à la spiritualité.

Ayant elle-même subi des deuils et des épreuves douloureuses, Évelyne Bissone Jeufroy a pu, grâce à la méthode des plaisirs, récupérer le goût et la joie de vivre. Elle explique ici comment faire pour retrouver le bien-être intérieur.

Évelyne Bissone Jeufroy, psychologue et coach, est l’auteur de Sortir du deuil. Surmonter son chagrin et réapprendre à vivre (avec Anne Ancelin Schützenberger).

Quelques articles et interviews :


Sortir du Deuil

Surmonter son chagrin et réapprendre à vivre

Sortir du deuil
Nouvelle édition poche : février 2009

Ce livre pourrait s'intituler "Ces pertes qui jalonnent notre vie". Ou "Comment surmonter une rupture amoureuse, la fin d'un emploi, le départ d'un pays ou d'une maison"...

"Il est inconcevable d'être si mal préparé à ces événements par la famille et par la société!" s'indignent Anne Ancelin Schützenberger et la coach Evelyne Bissone Jeufroy, qui ont écrit ce court texte destiné à nous accompagner dans les moments difficiles.

Toutes deux trouvent les mots justes, comme des bouées pour se répérer dans les méandres du chagrin. Ce texte apprend à prendre soin de soi, à trouver du soutien, à puiser en soi de nouvelles ressources. Un petit livre (par la taille) à lire, à donner, un beau compagnon de route.
V.C.-S. - Psychologies Magazine - Mai 2005

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